Armande Cornix sauve le monde (enfin, presque)

TRIPLE raison de se réjouir à l’occasion de la sortie de ce nouveau roman jeunesse.

  1. Je renoue avec la tranche d’âge « à partir de 10 ans », chère à mon cœur, pour une enquête menée tambour battant.
  2. C’est ma première collaboration avec Milan Jeunesse (et pas la dernière, rendez-vous en janvier 2024 pour la suite de nos aventures communes ;o)
  3. J’ai pris énormément de plaisir à imaginer cette héroïne bigger than life, qui déborde d’inventivité, et de tempérament.

Son nom est Cornix. Armande Cornix.

Du moins c’est le pseudonyme que s’est choisi Emma Lefèvre, une ado qui se fait une joie d’éprouver jusqu’aux dernières limites la patience de ses amis comme de ses parents. Pour l’heure, elle s’apprête à passer les pires vacances de sa vie : une semaine en hôtel-club à la Réunion avec sa mère. Le seul moyen d’échapper à la torture du club ados et à l’enthousiasme forcé des gentils animateurs : se servir des activités organisées pour dénoncer les conditions de travail des employés de l’hôtel. Mais son enquête la mène sur des pistes dangereuses… et pas uniquement pour elle.

Une anti-héroïne attachante… malgré tout

Une réussite ! Loufoque, enlevé, survolté, son nouveau roman se lit tambour battant. Et il fait feu de tout bois : jeux de mots, dialogues au couteau, scènes de théâtre, synopsis de film, to-do lists… En évoquant au passage la question des réfugiés. Avec une belle subtilité.

Michel Abescat. Télérama. TTT

Armande a une personnalité pour le moins explosive. Pourtant, elle ne demande pas grand-chose. Rien de plus que la liberté de dire et de faire ce qu’elle veut quand elle veut. Et si, en plus, on pouvait l’aimer comme elle est, ce serait parfait ! Est-ce trop demander ?

Un roman foisonnant à la forme originale

Dans la tête d’Armande règne un bazar qu’on retrouve dans le texte de ce roman singulier, dans lequel s’intercalent des pages de journal, des nuages de mots, des extraits de pièces de théâtre ou de synopsis de film, des listes, des notes, des pense-bêtes et même… des faux passeports !

Les artistes peuvent-iels tout dire ?

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Le Monte en l'Air (75020)
Les Mots à la Bouche (75011)
Les Racontars (Saint-Lô / Manche)

J’ai eu la joie, la chance et l’honneur de coordonner ce passionnant recueil collectif de la collection Minute Papillon 🦋 du non moins formidable labo d’édition #Monstrograph (aka la dream team Coline Pierré et Martin Page.

📚Que dire quand on est #artiste ? Pourquoi ? Comment ? Et de quel point de vue ? Des sujets sensibles mais tellement actuels, pour enfin mettre un terme à l’invisibilisation des voix minorisées, questions qui me tiennent à cœur.

« On ne peut plus rien dire ! »

Vraiment ?
Les réacs se plaignent de ne pouvoir s’exprimer librement, pourtant ils continuent de déverser leur haine et d’entretenir l’invisibilisation des voix minorisées, celles qui ne portent pas le privilège de l’homme blanc cis hétérosexuel. À l’heure où chaque jour voit éclore sa nouvelle pseudo-polémique – « menace woke », « cancel culture », « nouvelles censures » (stratagèmes développés par celleux qui monopolisent la parole, et refusent d’admettre que leur pouvoir est remis en cause), Monstrograph donne la parole aux artistes qu’on entend moins, ou pas assez. Objectif : éclairer leur réalité de créateurices, et les questions qu’iels se posent en matière de liberté de création.
Leslie Barbara Butch, Ovidie, Habibitch, Guillaume Meurice, Axelle Jah Njiké… Dix-sept créateurices toutes disciplines confondues répondent ainsi à douze questions : peut-on s’autoriser à s’emparer d’un sujet si on n’est pas concerné·e ; est-il risqué de créer ; reste-t-il possible de dire ce qu’on veut sans craindre les représailles ?
Riches et incarnées, leurs réponses mettent en lumière quelques constats délicats : violences perpétrées par les raids de trolls mais aussi intracommunautaires, difficultés à se déconstruire, logiques à l’oeuvre en matière de diffusion et d’accès aux financements. En cette époque ultraréactive, et marquée par l’omniprésence des réseaux sociaux, le chemin de la création reste semé d’embûches. Mais ces obstacles sont aussi vus par certain·es comme un moyen de réinventer leur art.

À la clé, un éventail de profils pluriel et évolutif, à l’image des questions que chaque artiste devrait se poser : tout dire, oui, mais pour dire quoi ? Et comment ?

Les artistes
Ayouba Ali, Hakim Atoui, Johanny Bert, Leslie Barbara Butch, Marie Docher, Camille Ducellier, Habibitch, Alistair Houdayer, Axelle Jah Njiké, Guillaume Meurice, Laura Nsafou, Oh Mu, Ovidie, Christelle Pécout, Kelsi Phung, Niels Rahou et Boulomsouk Svadphaiphane.

Et si on parlait diversité ?

Ou plutôt, absence criante de diversité en littérature jeunesse… C’est le propos de deux interviews publiées sur l’excellent et hautement recommandable site La Mare aux Mots, dont je reprends ici des extraits…

C’est une question que j’aborde régulièrement, en intervention scolaire, en interview ou lors des différents salons dans lesquels j’interviens. La route est longue, mais ces quelques infos devraient vous permettre d’y voir plus clair ou vous donner des pistes de réflexion.

Interview croisée avec Laura Nsafou

Le sujet scandaleux, c’est l’absence criante de diversité, tant du côté des auteurs et des autrices, que des récits commercialisés, des imageries véhiculées. Il n’y a qu’à voir les allées des salons du livre. Des blancs, des blancs, des blancs. Idem pour les ouvrages. Certes, quelques maisons d’édition commencent à s’interroger, osent des initiatives. Mais on reste en surface. Comme souvent, beaucoup se refusent à voir que des processus discriminants jouent à plein régime, pas toujours conscients, d’ailleurs, mais qu’importe. Et qu’on ne vienne pas me répliquer l’argument pathétiquement creux du « on ne peut plus rien dire, on ne peut plus rien écrire ». La littérature jeunesse mérite mieux que des formules caricaturales, révélatrices d’une certaine misère intellectuelle. Comment, en 2021, peut-on supporter que tout un pan d’auteurs et d’autrices, issu·es de la diversité, ou de récits mettant en avant d’autres visions de la société, des personnages « en marge » n’aient pas accès aux circuits grand public ni voix au chapitre.
Je rêve que les maisons d’édition françaises, dans leur ensemble, comprennent combien elles ont à gagner à opérer cette mue. Et ne soient plus aussi frileuses, ni ne fassent comme si cette question ne se posait pas.

Je rêve que les maisons d’édition françaises, dans leur ensemble, comprennent combien elles ont à gagner à opérer cette mue.

Mon coup de cœur et mon coup de gueule

Où sont ces voix qu’on n’entend pas (ou qu’on refuse d’écouter) alors même qu’elles disent un mal-être, des récits, des vécus et réalités, qui rappellent combien ce qu’on considère comme une « norme » ou une « objectivité » est le fruit d’un système aux mains d’une seule et même caste, arc-boutée sur ses privilèges et pouvoirs, et prompte à les défendre becs et ongles.

Je suis sidéré de voir à quel point la littérature jeunesse française continue de souffrir d’une absence criante de diversité — tant dans les représentations données à voir dans les ouvrages — que des voix éditées.

Où sont les auteurs et autrices racisé·es ? Quid des récits #ownvoices ? Comment est-il possible que les couvertures de certaines traductions soient « blanchies » ? Pour mesurer l’étendue du problème, je vous invite à écouter cet épisode de Kiffe ta race. Il suffit toutefois de déambuler dans les allées du salon du livre et de la presse jeunesse de Montreuil, ou de n’importe quel salon du livre jeunesse, pour constater combien les tables de dédicaces sont désespérément blanches. (Jetez donc un œil sur le trombinoscope des 200 auteur·rices invité·es au SLPJ 2020… .)
Attention, il ne s’agit pas ici de reporter la faute sur tel ou telle, mais bien d’alerter sur le besoin d’une prise de conscience collective.


Une prise de conscience collective s’impose.

À l’étranger, des maisons d’édition prennent le problème à bras le corps, des agences littéraires dédient des fonds à l’émergence d’autres voix.

Et nous ? Quels récits publions-nous ? Par qui les ouvrages sont-ils écrits, illustrés ? Quels livres mettons-nous en avant ? Qui invitons-nous en salon, en librairie, en bibliothèque, en résidence ? À qui attribuons-nous des bourses, des aides ? Il est plus qu’urgent de répondre à ces questions. Et d’agir en conséquence.

Partout, le train d’une plus grande diversité est en marche. Ambition et volontarisme sont plus que jamais nécessaires pour ne pas rater ce coche et continuer de faire en sorte que la littérature jeunesse soit cette porte ouverte sur le monde de demain, et celles et ceux qui l’habiteront. Une société plus juste, riche de toutes ses singularités.

En route pour Amiens

LireCestDuDelice-Amiens2021

Lire, c’est du délice !

C’est avec beaucoup de bonheur que je retourne cette semaine au festival Lire, c’est du délice, à Amiens. Pour y reparler de Magda (Auzou), qui se passe en partie en Picardie, mais aussi évoquer mes derniers romans, notamment Le Cri du Homard et Tracer.

Cerise sur le gâteau, j’ai  le plaisir d’être le président du jury du concours d’écriture « Protégeons l’humanité ! Imagine la planète en 2050… »

Alors c’est parti pour une semaine de folie !

Les lundi 8, mardi 9 et vendredi 10 novembre.
Rencontres scolaires

Le samedi 13 novembre.
10h-18h. Salon, rencontres et dédicaces.
16h. Remise des prix du concours.

Pôle universitaire de la Citadelle
10 rue des Français libres. Amiens

Retour en images sur l’édition 2019…

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur moi…

(sans plus avoir besoin de le demander…)

Perluète, le magazine de Normandie Livre et Lecture, me fait l’honneur d’un portrait écrit et vidéo dans son numéro d’automne 2020.

L’occasion de parler de mes engagements en faveur des auteurs et autrices jeunesse, de plus d’égalité et de diversité, mais aussi de mon attachement au Cotentin, mon territoire d’adoption, et de mon désir d’inscrire mes récits dans une réalité géographique.

La littérature jeunesse était pour moi un hasard…
Elle est devenue une évidence.

De quoi revenir sur les inspirations et la genèse de mes différents romans parus notamment au Rouergue, chez Slalom, Auzou et aussi sur le petit dernier à paraître chez Glénat le 14 octobre 2020, Le cri du homard !

Alors bonne lecture et bon film !

Et merci beaucoup aux équipes de Perluète !

La littérature jeunesse est-elle de la « vraie » littérature ?

(extrait de ma tribune parue dans Le Monde le 28.11.19)

@Julien Benhamou

La réponse est non, malheureusement, et c’est le président de La Charte des auteurs et des illustrateurs pour la jeunesse, créée en 1975 et représentant pas moins de 1 400 auteurs et autrices jeunesse, qui le dit.

Si la littérature jeunesse était considérée comme de la « vraie » littérature, elle serait payée comme telle par les maisons d’édition.
Or, elle est « systémiquement » moins rémunérée que la littérature dite « générale » : un pourcentage moyen de 5,2 % des recettes (à partager très souvent entre auteur et illustrateur), contre 7,2 % pour les autres catégories de publications, indique le baromètre des relations auteurs-éditeurs de mars 2018 SCAM/SGDL. Et le dernier à-valoir le plus élevé perçu par chaque auteur s’élève en moyenne à 2 426 euros en littérature de jeunesse contre 13 200 en littérature générale (hors sciences humaines, essais et bande dessinée), selon le rapport « La situation économique et sociale des auteurs du livre » publié en 2016 par le Centre national du livre – rencontres, lectures, actualités (CNL) et le Ministère de la Culture.

Si la littérature jeunesse était considérée comme de la « vraie » littérature, elle serait estimée comme telle par les pouvoirs publics.
Or, le ministre de la culture, Franck Riester, s’il est finalement venu inaugurer cette année le Salon du livre et de la presse jeunesse en Seine-Saint-Denis, avait brillé par son absence en 2018, mais aussi aux dernières Assises de la littérature jeunesse, en octobre, pourtant placées sous l’égide de son ministère. Quant au ministre de l’éducation nationale, sa méconnaissance de la vitalité de la littérature jeunesse contemporaine l’a conduit à promouvoir la lecture en faisant éditer et distribuer chaque année à grands frais aux élèves de CM2, comme « livre pour l’été », les fables de La Fontaine. N’y aurait-il donc pas d’auteurs ou autrices jeunesse contemporains dignes de voir leur œuvre distribuée ?

Si la littérature jeunesse était considérée comme de la « vraie » littérature, elle serait appréhendée comme telle par les organismes de protection sociale.
Or, depuis le 1er janvier 2019, les rencontres en milieu scolaire, propres à la littérature jeunesse, subissent un chaos administratif qui témoigne d’une désinvolture manifeste à l’égard des conditions de travail des auteurs et autrices jeunesse. Les établissements scolaires souffrent d’un cruel déficit d’information, ne sont pas accompagnés dans l’application des réformes en cours et des dizaines de dossiers doivent être remontés un par un aux ministères par les associations, afin de débloquer des rémunérations retenues pour certaines depuis un an.

Si la littérature jeunesse était considérée comme de la « vraie » littérature, elle serait envisagée comme telle par les médias.
Or, la télévision, qui se repaît pourtant des créations jeunesse contemporaines en les adaptant régulièrement sous forme de dessins animés, s’évertue à ignorer systématiquement la littérature jeunesse dans les rares émissions littéraires qu’elle propose encore. Sauf une fois par an, salon de Montreuil et Noël obligent…

Si la littérature jeunesse était considérée comme de la « vraie » littérature, elle serait accueillie comme telle.
Or, des salons du livre opèrent trop souvent un distinguo. D’un côté, ils alignent les auteurs et autrices jeunesse dans des espaces de dédicaces confinés, tels des poulets de batterie, les logent dans les hôtels de périphérie et les nourrissent dans les restaurants de moindre qualité. De l’autre, auteurs et autrices de littérature générale bénéficient de conditions d’accueil nettement plus confortables.

Enfin, si la littérature jeunesse était considérée comme de la « vraie » littérature, ses auteurs et autrices demanderaient à être traités comme tels. Et refuseraient les modalités financières qu’on leur propose, boycotteraient toute maison d’édition, tout salon qui les maltraite ou s’insurgeraient contre les pouvoirs publics qui les dénigrent. Un véritable examen de conscience s’impose, pour comprendre les responsabilités de chacun. Et c’est le système tout entier qu’il faut interroger, y compris les leviers à l’œuvre, parfois inconscients.

Car à l’instar d’autres secteurs, la littérature jeunesse est aussi moins rémunérée et moins valorisée parce qu’elle reste un secteur très féminisé, 70 % des adhérents à la Charte des auteurs et illustrateurs jeunesse étant des femmes. Malgré ces constats maintes fois répétés, la société continue de déconsidérer les activités dans lesquelles les femmes sont majoritaires. Et s’adresser à la sphère de l’enfance n’arrange rien. Il faut en finir une bonne fois pour toutes avec ces différences de traitement et ces schémas archaïques en prenant la situation à bras-le-corps.

Pour qu’enfin la littérature jeunesse et ses auteurs et autrices soient traités à leur juste valeur. Celle d’une « vraie » littérature, dynamique, exigeante et prospère –qui contribue malheureusement beaucoup à la bonne santé du secteur de l’édition dans son ensemble sans en tirer profit pour autant.

À ce titre, elle mérite qu’on la considère bien au-delà de son salon annuel.


➡️ L’intégralité de ma tribune
à retrouver ici sur le site du Monde

Magda à l’honneur à Amiens

Lire, c’est du délice !

Magda (Auzou) est coup de cœur du festival Lire, c’est du délice, à Amiens.

Et j’ai le très grand plaisir d’être le président du jury « Création d’une fable »

Alors c’est parti pour quatre jours de folie

⇒ avec notamment des rencontres scolaires le jeudi 7 et vendredi 8 novembre.
⇒ et un week-end dédicace le samedi 9 et dimanche 10 novembre.

Mais Lire, c’est du délice, c’est aussi :

Samedi 9 novembre – 15h30
Échange autour de Magda
Avec Alexandra Oury, journaliste littéraire

Samedi 9 novembre – 16h
Remise des prix du concours
« Création d’une fable »

Et des dédicaces tout le week-end

Samedi 9 novembre
De 10h à 12h30 et de 13h à 18h

Dimanche 10 novembre
De 10h à 12h30 et de 13h à 17h

Pôle universitaire de la Citadelle
10 rue des français libres. Amiens

Retour en images…

Pau : en route pour Graines de lecteurs

Graines de lecteurs

Bande de Zazous ! (Rouergue) est sélectionné au  festival Graines de Lecteurs à Pau.

© Camille Jourdy

Alors c’est parti pour une journée de rencontres scolaires le vendredi 17 mai, et le Forum des auteurs et des autrices, le samedi 18 mai, de 10h à 15h.

Avec un line-up de folie !

Manon Fargetton
Christophe Mauri
Claire Castillon
Valentine Goby
Anne-Gaëlle Balpe
Alexandre Chardin

Et c’était plus que chouette, la preuve en images :

 

Cap sur l’égalité Femmes-Hommes à Cherbourg-en-Cotentin

Luttons contre le sexisme !

Du 15 au 24 mars 2018, Cherbourg-en-Cotentin organise la 19e édition du Festival Femmes dans la Ville.

Formidable rassemblement populaire destiné à promouvoir l’égalité femmes-hommes, le festival se décline cette année autour du thème « Les femmes et la guerre »


Mon programme

Samedi 17 et Dimanche 18 mars. 13 h – 18 h

La Cité des Mots.
Un salon littéraire dédié à l’égalité. J’y serai en dédicace tout le week-end.

Dimanche 18 mars. 14 h 15

Table ronde
Une façon d’écrire ou d’éditer non sexiste ?
Avec les éditions Talents Hauts et D’égale à égal


Vendredi 23 mars. 9h

Rencontre
Sexisme et stéréotypes : le rôle de la littérature jeunesse
Lycée Jean-François Millet


 

Parrain du Festival Femmes dans la ville – Cherbourg-en-Cotentin

Affiche Festival Femmes dans la ville Cherbourg 2017Luttons contre le sexisme !

Du 3 au 12 mars 2017, j’ai eu le très grand plaisir d’être parrain du Festival Femmes dans la Ville, de Cherbourg-en-Cotentin.

Formidable rassemblement populaire destiné à promouvoir l’égalité femmes-hommes, le festival se décline cette année autour du thème « L’art a-t-il un genre ? »


Au programme pendant ces 10 jours

Lancement officiel du festival.
Le Qasar


cherbourgeoiseLa Cherbourgeoise.
Grande course pour l’égalité. Ouverte aux femmes et aux hommes !
Place du Général de Gaulle


Julie Gayet

Le cinéma a-t-il un sexe ?
Les deux volets du documentaire, en présence de la réalisatrice et marraine du Festival Julie Gayet
Cinéma l’Odéon


jeunesstereotypesDélibérations du concours « Égalité, sexisme et stéréotypes »
Le Qasar


Collectif des créatrices de bande dessinée contre le sexismeConférence-Débat « Décodons le sexisme dans la littérature ».
Avec Catherine Beaunez et Perrine Rouillon, du Collectif des créatrices de bande dessinée contre le sexisme
Suivie d’une séance de dédicaces


Quelques souvenirs en images…