Ton absence

Mon nouveau roman ado, quatrième de mes ouvrages à paraître au Rouergue Jeunesse, parle d’amour, du regard des autres, des premiers vrais émois de l’adolescence, le tout au cœur des paysages splendides du Cézallier, entre Cantal et Puy-de-Dôme.

Sélections
Prix Vendredi – le « Goncourt » de la littérature ado
Prix de l’Estuaire
Prix Jeunes Caractères – Quintin

Ça fait comment quand on désire pour la première fois ? Quand la curiosité laisse sa place à l’attirance ? Quand toutes nos pensées vont vers un seul être ? Le temps d’un stage BAFA, dans les lumières de l’été, Léopold s’éprend de Matthieu. Mais sa bande de potes, menée par Damien, un garçon dominateur et toxique, va très vite se mettre entre lui et son désir. Sous le soleil, l’ambiance s’épaissit et les tensions poussent le groupe au bord de l’explosion.

Toi déjà, tu savais, que la vie est fébrile, qu’à quoi bon les lignes droites, confort et insipides, quand tous les creux attendent, en embuscade, les écarts qui inquiètent, sinueux qui émerveillent.

Et pour en savoir plus sur le processus d’écriture, les origines du roman et ce qui a guidé mon écriture, quelques réponses en vidéo…

Tracer – Sortie le 5 février 2020

Mon premier roman ado
Aux éditions du Rouergue jeunesse

Ça pourrait être une histoire triste, grise et pleine de violons qui grincent. Ça pourrait car ça commence par un deuil.

Celui d’Emjie, 17 ans, orpheline depuis quelques jours et recueillie par son oncle Balou après la mort de ses parents dans un accident de la route.

Mais c’est bien plus que ça. C’est aussi l’histoire d’une amitié belle à en pleurer avec l’hilarante Nitsa.

C’est une rando pleine de rencontres incroyables dans l’Aubrac. C’est des moments de joie pure, de tristesse et de désir.

Car Emjie est vivante et bien décidée à TRACER !

Photo de couverture –
© Metin Demiralay / Trevillion Images

 

 

Automne-Hiver 2018-2019 : Demandez le programme !

Le point sur les rencontres de ces prochaines semaines

  • Vendredi 30 novembre
    Maubeuge : rencontres avec les primaires et les collégien.ne.s autour de la lutte contre les discriminations
  • Jeudi 10 janvier
    Coulommiers : Rencontre avec les élèves dans le cadre du Prix Minotaure
  • Jeudi 10 janvier
    Sortie du roman Magda, chez Auzou
  • Vendredi 8 mars
    Annonce & Remise du Prix Cherbourg Égalité, en partenariat avec la Charte des auteurs et illustrateurs jeunesse
  • Vendredi 22 mars
    Grenoble. Congrès de l’Association des professeur.e.s-documentalistes de l’Éducation nationale (ADPEN)
    Conférence : la Publication numérique, nouvel edlodarado des auteur.ice.s ?

Allez hop ! Au boulot !

 

 

Passerelle(s) vers le Limousin

Prix Passerelle(s)

Chouette, Qui veut la peau de Barack et Angela est sélectionné pour le Prix Passerelle(s), qui réunit plus de 2 000 élèves de 20 établissements !
À cette occasion, j’aurai la chance de rencontrer les 17 et 18 mai des  lecteurs de Limoges, Uzerche, Beynat et Lubersac !


De quoi découvrir plus en détail une région que j’aime déjà beaucoup.


Rencontre-dédicace

Et pour démarrer les hostilités, rendez-vous dès le mercredi 16 mai pour une rencontre dans le cadre de la librairie Rêv’en Pages.
Mercredi 16 mai
15h-17h
Libraire Rêv’en Pages.

 


 

Valence Scénario : Semaine marathon

Valence Scénario
Du mercredi 4 au samedi 7 avril, Valence accueille la 21e édition du festival international des scénaristes.
L’occasion de célébrer le scénario sous toutes ses formes et, comme souvent, de se raconter des histoires.


Cadavre exquis :
le fil rouge des festivaliers

Chaque soir, j’animerai pour le compte de l’association Séquences 7 le Cadavre exquis. Créé par la Mafia Princesse, c’est l’occasion de se retrouver entre scénaristes, festivaliers et habitants de Valence pour écrire en direct 3 épisodes d’une même série. Joués par les ligues d’improvisation de la ville.

Mercredi 4 avril. 20h
Épisode #1. Lézarts Café

Jeudi 5 avril. 20h
Épisode #2. Le Cause toujours

Vendredi 6 avril. 20h
Épisode #3. Un air de famille

Samedi 7 avril. 14h
L’intégrale. Chapiteau du Festival


Rencontre-dédicace

Valence Scénario sera aussi l’occasion de discuter avec mes jeunes et moins jeunes lecteurs lors d’une rencontre-dédicace.
Vendredi 6 avril
15h-18h
Libraire L’Étincelle.

 

Tournée normande !

 

AVRANCHES
Le vendredi 13 octobre 2017.
De 16h à 19h
Librairie 1001 Pages
3 rue du Docteur Gilbert


 

GRANVILLE
Le samedi 14 octobre 2017
De 15h à 17h
Librairie Le Détour
62 rue des Juifs

Granville


La rade de Cherbourg-en-Cotentin, plus grande rade artificielle du monde
@Joao Mendes/Cherbourg-Cotentin Tourisme

CHERBOURG-EN-COTENTIN
Samedi 25 novembre 2017
De 15 h à 18 h.
Librairie Ryst
16-22 Grande Rue

Bande de Zazous !

Philippe habite un coin paumé.
Philippe a un prénom moche.
Et en plus, Philippe boite.
Il en est sûr, un enfant comme lui, c’est direct à la poubelle ! Mais ses parents n’oseraient quand même pas l’abandonner… Si ?
Pas question d’attendre la réponse, Philippe s’échappe ! Sans savoir qu’il va être adopté par une sacrée bande de zazous

Illustré par Camille Jourdy

Sélections & Prix
Prix de la ville de Cherbourg. Festival du livre de jeunesse de Cherbourg.

Sélection prix Graines de lecteurs. Pau
Sélection prix PEP 42 – ASSE Cœur vert. Saint-Étienne

 

Les filles veulent zigouiller des dragons et les garçons aiment les histoires de poneys…

Ma tribune pour lutter contre le sexisme en littérature jeunesse, parue sur les sites Actualitte.com et Cheekmagazine.fr

#STOPSEXISME TRIBUNE – Depuis plusieurs semaines, ActuaLitté et la Charte des auteurs et illustrateurs jeunesse proposent aux membres une tribune. C’est une porte à ouvrir pour évoquer les joies et les contrariétés du métier d’auteur, ce qui se trame entre les lignes et les pages. Guillaume Nail est scénariste et auteur, et membre du conseil d’administration de la Charte. C’est lui qui prend la parole aujourd’hui.


Guillaume Nail © Lisa Lesourd
En mars dernier, j’ai été parrain du festival Femmes dans la Ville, à Cherbourg-en-Cotentin, qui œuvre depuis plus de quinze ans en faveur de l’égalité femmes-hommes. Dans ce cadre, je devais répondre à l’épineuse question : la littérature (jeunesse) est-elle sexiste ?
Naïf que je suis, j’étais certain de dénicher les doigts dans le nez pléthore d’éléments pour illustrer mon propos. L’égalité femmes-hommes est plus que jamais dans l’air du temps (Eh, Manu, tu m’entends ?) et nul doute que la littérature jeunesse avait depuis longtemps pris la question à bras le corps, à grand renfort d’études, d’actions et de bonnes pratiques.
Patatras. En réalité, je découvrais des études vieilles des années 1990, de rares maisons d’édition clairement revendiquées anti-stéréotypes – merci entre autres à Talents Hauts – et des auteurs, libraires, chercheurs – motivés mais engagés en ordre dispersé –, dont les témoignages et articles sonnent comme autant d’appels au secours à peine entendus malgré l’urgence de la situation.
Pire encore : quand une figure de proue comme Clémentine Beauvais s’autorise ne serait-ce qu’à s’interroger sur la majorité de prix littéraires décrochés par des hommes dans un secteur aux deux tiers féminin, la voilà confrontée à une levée de boucliers (eh, les gars, elle pose juste la question…).
Et je ne parle pas des maisons d’édition qui cèdent aux sirènes commerciales en segmentant les lectures pour filles et celles pour garçons – avec les ravages que cela entraîne en matière de conditionnement. Et des nombreux ouvrages qui continuent – souvent sans même en avoir conscience – d’assigner aux parents, enfants, animaux, des rôles clairement marqués par une vision binaire de la société.
J’entends déjà les sempiternelles objections : « Mais ça va beaucoup mieux, voyons ! » « Les enfants sont capables de faire la part des choses. » (ben tiens !) Ou encore : « Franchement, y a pas plus grave comme sujet ? »
Eh bien NON !

Cette question est ABSOLUMENT FONDAMENTALE. Loin d’être acquise, l’égalité entre les femmes et les hommes, entre les filles et les garçons, et a fortiori la lutte contre toutes les formes de stéréotypes et la promotion d’une représentation équitable des diversités dans la littérature, forment un enjeu essentiel. Parce que l’égalité ne progresse que trop lentement, il faut sonner la charge en ordre groupé. Et sans attendre. J’ai donc envie de dire : Taïaut !

La Charte doit s’engager ! 

Association pour les auteurs par les auteurs, riche de 1 300 membres, la Charte est au cœur de la chaîne du livre jeunesse. Je l’invite aujourd’hui à prendre ce problème à bras le corps et à faire ce qu’elle sait faire de mieux : tirer profit des bonnes volontés, des bonnes âmes et de toutes les énergies positives et progressistes pour FÉDÉRER et faire évoluer les mentalités.

© Gwenaëlle Doumont

Qu’elle fasse fructifier l’action de toutes celles et tous ceux qui chaque jour œuvrent dans leur coin pour que filles et garçons, femmes et hommes puissent enfin se réaliser dans leur vie, hors de toute projection sexiste et stéréotypée ! Qu’elle conjugue les atouts de nos initiatives isolées pour décliner un programme ambitieux et concret !

1. L’état des lieux

Il est urgent de dresser un bilan exhaustif du secteur – que je redoute peu glorieux : combien d’héroïnes pour combien de héros dans les livres jeunesse ? Combien de mamans ourses s’obstinant à porter un tablier quand leur crocodile de mari bricole trankilou ? Quels écarts de rémunération entre les femmes et les hommes ? Quelle représentation des uns et des autres dans les salons, colloques, prix littéraires ?

Quelle parité dans les volumes d’achats des collectivités locales ? En partenariat avec tous les acteurs de la chaîne du livre, en concertation avec les institutions et l’État (Eh Manu, tu m’entends toujours ?), dotons-nous des indicateurs qui nous permettront de hiérarchiser les domaines d’action et de mesurer les progrès réalisés.

2. La boîte à outils

Il est urgent de diffuser les bonnes pratiques. Toi auteur, toi bibliothécaire, toi éditeur qui fourmille de bonnes idées pour que la littérature jeunesse propose un prisme moins stéréotypé de la société, ton savoir est précieux : identifions ce qui fonctionne à l’étranger, en local, à grande échelle, partout en France, pour diffuser ces outils à tous les acteurs du secteur.

Proposons des formations dédiées et des actions de sensibilisation : comment déconstruire ses propres stéréotypes ? Comment écrire des personnages hors clichés ? Comment faire passer le message ? C’est par la somme de tous ces apports que le secteur dans son entier pourra effectuer sa mue et gommer ses représentations sexuées.

3. La vitesse supérieure

Il est urgent d’arrêter de tergiverser. Quels que soient les arguments qu’on leur oppose, des mesures comme l’obligation de parité sur les listes de candidats en politique, ou l’instauration de quotas dans les conseils d’administration font avancer les choses dans le bon sens – notamment en multipliant les modèles de projection pour les femmes. Alors interrogeons-nous sur les moyens contraignants à notre portée : instauration d’un label pour les achats en bibliothèques ? Boycott des éditeurs sexistes ? Sanctions, pénalités, obligation à transparence sur les rémunérations ? Autant de pistes qui pourraient accélérer les choses.
Toutes vos idées sont les bienvenues. Car tous les moyens, toutes les volontés et tous les engagements féministes sont bons à prendre dès lors qu’ils tendent vers un même but. Dès à présent, je vous invite à me faire part de vos commentaires, de vos idées, de vos actions et de vos témoignages à l’adresse mail dédiée : stop.sexisme@yahoo.com.
Et ensemble, avec la Charte, menons ce vaste chantier pour qu’enfin sexisme, stéréotypes, clichés et discriminations ne soient plus qu’un mauvais souvenir dans la littérature jeunesse.

Chiche ?

Guillaume Nail est auteur, scénariste et féministe.

Son prochain roman, Bande de Zazous !, paraît aux éditions du Rouergue en septembre 2017.

 

Cherbourg fête le livre jeunesse

 

Pour ses 30 ans, le Festival du livre de jeunesse et de bande dessinée de Cherbourg a vu les choses en grand.
4 jours de festival, des concerts, des dédicaces et des rencontres à la pelle.

Au programme

Des échanges très intéressants avec les élèves des collèges alentour (Bricquebec, Les Pieux, Saint Vaast et Beaumont-Hague) et leurs enseignants, mais aussi  de belles rencontres avec tous les autres auteurs et illustrateurs présents…

Sans oublier des interviews dans La Presse de la Manche et sur France Bleu Cotentin

pour parler de Qui veut la peau de Barack et Angela, et de l’exposition Dans la peau d’un auteur jeunesse, organisée par la Charte des auteurs et illustrateurs jeunesse.

Bref, triple strike et 4 jours qui ont défilé à toute vitesse…

Périple angevin : Dédicace et Rencontres scolaires 25-27 février

Chateau d'AngersCher pays de mon enfance
Eh oui, je suis né en Anjou, j’y ai même passé toute mon enfance et mon adolescence.

Je suis donc plus que ravi d’y retourner  faire un tour le week-end du 25-27 février à la rencontre des lecteurs de Qui veut la peau de Barack et Angela


Librairie Contact Angers
Librairie Contact Angers

Au programme
Rencontre & signature

 Librairie Contact
3 rue Lenepveu.
49100 Angers
Quand Samedi 25 février de 15 h à 18 h.

Pour venir


Au programme, la suite

stphilbertLe lundi après-midi, je serai à Saint Philbert du Peuple (le village où j’ai grandi !).

J’aurai la joie de rencontrer les élèves de l’école du Marronnier, qui semble-t-il ont des tas de questions à me poser !