Les Podcasts de la Lose

Une comédie qui fait la part belle au son, sur fond de harcèlement ?
C’est parti pour Les Podcasts de la Lose, et son trio de « losers » au grand cœur, Mindy, Farika et Roger !

Avec ses héros mal dégourdis, Guillaume Nail fait le choix de l’humour pour sensibiliser à la question du harcèlement. Il y a une dimension didactique, mais la maladresse des personnages permet d’échapper à la leçon de morale.

Les dialogues sont vifs, et le récit prend du relief grâce à une foultitude de petits détails bien amenés. Tout ça rend ce roman destiné aux 10 ans et plus à la fois accessible, drôle et prenant.

France Inter. La bibliothèque des ados

« Vous allez créer un podcast. Avec pour thématique, la lutte contre les discriminations. Tout le monde sait ce que c’est ? » 

Cette fois, c’est sûr, la dame du CDI a eu la PIRE idée du monde. Pour ce travail de groupe, Mindy, la miss je-sais-tout, se retrouve coincée avec Farika, une fille si discrète que personne n’a jamais entendu le son de sa voix, et Roger, qui amène son doudou au collège. C’est assurément le pire des trios de toutes les classes de sixième, et ce n’est pas gagné pour le travail d’équipe !

Un trio attachant de losers au grand cœur

En compagnie de Mindy, Farika, Roger, leurs petits défauts et leurs grandes qualités, embarquez sur les montagnes russes de la vie au collège, pour un plein d’amitié, d’humour et de bêtises ! Effectivement, avec ces trois-là on n’est jamais déçu… Mais le plus difficile reste encore de se rattraper, le trio décide alors de tenter le tout pour le tout : raconter dans un nouveau podcast leurs pires hontes, leurs passions inavouables, bref, tout ce qui fait d’eux des losers. Avec leurs « Podcasts de la louze », ils apprennent à embrasser ce qui les rend uniques et à en devenir fiers, mettant fin au harcèlement dans leur collège et devenant la coqueluche des autres élèves.

Le harcèlement et l’acception de soi : de vrais sujets pour les préados

Comme si ça ne suffisait pas, la malchance les poursuit. Après avoir failli causer un incendie, perdu tout leur enregistrement et avoir dû improviser un podcast, les trois doivent se rendre à l’évidence : on n’arrête pas facilement d’être un « louzeur ». Pourtant, quand l’une de leurs camarades se fait harceler, ils décident de voler à son secours avec une nouvelle émission. Une pour apprendre à embrasser ses petits défauts, ce qui rend chacun de nous unique, à assumer ses hontes et ses bêtises, et à être fier de soi. Un podcast de la louze, quoi !

« FARIKA – On ne sait pas quoi choisir. Mindy nous impose des sujets auxquels on ne comprend rien.
MINDY – N’importe quoi ! Je vous laisse l’embarras du choix !
PROF – L’antiracisme, les fake news complotistes… Oui d’accord. Attends, c’est écrit quoi là, en bas ? La “balkanisation de la France périphérique ?” C’est un petit peu pointu, Mindy. Où vas-tu donc chercher tout ça ?
MINDY – C’est ma sœur, elle fait des études.
PROF – Mais vous, vous êtes seulement en sixième. Vous avez le droit de choisir plus simple. Qu’est-ce qui vous plaît dans la vie ? Bon. Vous êtes grands, alors vous vous débrouillez, je vous laisse jusqu’à demain pour me trouver une idée. »

Sélections
Prix Gavroche – Médiathèques de Rueil-Malmaison
Prix Cœur d’Ados


Et pour découvrir mon Interview sur Sqool TV (à partir de la minute 33:00)

Madou en 5 actes

Un roman d’apprentissage très personnel, qui mêle quête de légitimité, amour du théâtre et… on ne se refait pas, tout mon attachement au Cotentin !

Dans un registre plus léger, on retrouve ici son sens de la construction dramatique et sa langue déliée, piquante, qui épouse si bien celle des adolescents, inquiets des « darons qui vont criser », mais décidés à éviter la « louze ». Grâce à eux, la grisaille de Cherbourg laisse percer quelques rayons de soleil dignes des Demoiselles de Rochefort. (1967). Super plus plus, alors !
Denis Cosnard. Le Monde des Livres

Madou rêve de se projeter dans sa vie d’adulte, mais ne se voit pas d’avenir…
Comment faire quand on se sent incomplète ?
Où trouver sa part manquante quand on ne sait pas ce qui nous manque ?
C’est par le théâtre que Madou va trouver des réponses.
En cinq actes, entre Cherbourg, Paris et Avignon,
elle part à la recherche d’elle-même…

« J’en ferai pas, de tes études de merde, t’es content !
Tous les métiers, c’est de la merde, et tes diplômes, c’est de la merde…
Cherbourg ! Votre maison ! Le Cotentin, tout ça c’est de la MEEERDDDE .
Et vous aussi, vous êtes rien que de la merde ! »

Sélections
Prix T’Aimes Lire Ado

Armande Cornix sauve le monde (enfin, presque)

TRIPLE raison de se réjouir à l’occasion de la sortie de ce nouveau roman jeunesse.

  1. Je renoue avec la tranche d’âge « à partir de 10 ans », chère à mon cœur, pour une enquête menée tambour battant.
  2. C’est ma première collaboration avec Milan Jeunesse (et pas la dernière, rendez-vous en janvier 2024 pour la suite de nos aventures communes ;o)
  3. J’ai pris énormément de plaisir à imaginer cette héroïne bigger than life, qui déborde d’inventivité, et de tempérament.

Son nom est Cornix. Armande Cornix.

Du moins c’est le pseudonyme que s’est choisi Emma Lefèvre, une ado qui se fait une joie d’éprouver jusqu’aux dernières limites la patience de ses amis comme de ses parents. Pour l’heure, elle s’apprête à passer les pires vacances de sa vie : une semaine en hôtel-club à la Réunion avec sa mère. Le seul moyen d’échapper à la torture du club ados et à l’enthousiasme forcé des gentils animateurs : se servir des activités organisées pour dénoncer les conditions de travail des employés de l’hôtel. Mais son enquête la mène sur des pistes dangereuses… et pas uniquement pour elle.

Une anti-héroïne attachante… malgré tout

Une réussite ! Loufoque, enlevé, survolté, son nouveau roman se lit tambour battant. Et il fait feu de tout bois : jeux de mots, dialogues au couteau, scènes de théâtre, synopsis de film, to-do lists… En évoquant au passage la question des réfugiés. Avec une belle subtilité.

Michel Abescat. Télérama. TTT

Armande a une personnalité pour le moins explosive. Pourtant, elle ne demande pas grand-chose. Rien de plus que la liberté de dire et de faire ce qu’elle veut quand elle veut. Et si, en plus, on pouvait l’aimer comme elle est, ce serait parfait ! Est-ce trop demander ?

Un roman foisonnant à la forme originale

Dans la tête d’Armande règne un bazar qu’on retrouve dans le texte de ce roman singulier, dans lequel s’intercalent des pages de journal, des nuages de mots, des extraits de pièces de théâtre ou de synopsis de film, des listes, des notes, des pense-bêtes et même… des faux passeports !

Sélections

Prix Jeunes Lecteurs Salon du livre La Saussaye
Prix Latulu

On ne se baigne pas dans la Loire

En janvier a paru chez Denoël mon tout premier roman « adulte », qui reste toutefois fidèle à l’adolescence, et dépeint une dernière journée de colo tragique en bord de fleuve. Un retour aux sources pour le gamin né et grandi en Anjou que je suis.

« On ne se baigne pas dans la Loire.
Ni printemps, ni été, ni même un doigt de pied. »

« Sous leurs yeux, le décor entier se détraque. L’incompréhension dans le regard de Lorenzo, ses pieds dérobent, l’eau ensevelit et, réflexe, Gus saute pour échapper à l’arbre qui glisse par en dessous et défonce le sable dans sa chute, jusqu’à redevenir le fleuve, le courant, l’eau partout. »

Un après-midi d’août, dernier jour de colo. Une meute d’adolescents est livrée à elle-même. Dans un dernier sursaut d’enfance, Pierre, Gus, Totof, Farid et les autres partent à l’aventure. Derrière leurs vœux d’amitié à la vie, à la mort pointe la fougue d’une jeunesse insolente. Tous se croient immortels. Une journée parfaite, à un détail près – on ne se baigne pas dans la Loire.
Un premier roman « adulte » impétueux qui dit la fièvre de l’adolescence.

Prix littéraire des lycéens d’Île-de-France
Prix du 1er roman – Salon du livre de la Saussaye

Sélections

Prix de l’Instant
Prix Ouest – Printemps du livre de Montaigu
Prix Les Promesses – La boîte à livres / bibliothèques de Tours
Prix Roman News – Publicis Drugstore / Les Échos
Prix des lycéens et apprentis d’Auvergne-Rhône-Alpes
Prix Jean-René Huguenin
Prix Jacques Allano – Lire à Saint-Brieuc
Prix Libraires en Seine
Prix littéraire de la ville de Caen
Prix RayonNantes
Lycéens et apprentis, livres et auteurs d’aujourd’hui. Centre Val de Loire
Prix Première – Institut français d’Allemagne


La fin du train-train

Ce 5 octobre sort mon tout premier album, magnifiquement illustré par la talentueuse Qu Lan. C’est chez Glénat jeunesse et j’ai hâte de vous le faire découvrir.

« Vent, neige ou soleil,
la vie de Femke roulait
chaque jour pareil. »

Femke est conductrice de train. Elle vit aux Pays-Bas et tous les jours, elle traverse des paysages aussi sages et apaisants que les journées qui s’égrènent, sans surprise. Jusqu’au jour où le hasard met sur son chemin Julionito, un bel hidalgo. Le début d’une histoire d’amour ? Non, la découverte de ses aspirations, de ses envies

Les artistes peuvent-iels tout dire ?

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Le Monte en l'Air (75020)
Les Mots à la Bouche (75011)
Les Racontars (Saint-Lô / Manche)

J’ai eu la joie, la chance et l’honneur de coordonner ce passionnant recueil collectif de la collection Minute Papillon 🦋 du non moins formidable labo d’édition #Monstrograph (aka la dream team Coline Pierré et Martin Page.

📚Que dire quand on est #artiste ? Pourquoi ? Comment ? Et de quel point de vue ? Des sujets sensibles mais tellement actuels, pour enfin mettre un terme à l’invisibilisation des voix minorisées, questions qui me tiennent à cœur.

« On ne peut plus rien dire ! »

Vraiment ?
Les réacs se plaignent de ne pouvoir s’exprimer librement, pourtant ils continuent de déverser leur haine et d’entretenir l’invisibilisation des voix minorisées, celles qui ne portent pas le privilège de l’homme blanc cis hétérosexuel. À l’heure où chaque jour voit éclore sa nouvelle pseudo-polémique – « menace woke », « cancel culture », « nouvelles censures » (stratagèmes développés par celleux qui monopolisent la parole, et refusent d’admettre que leur pouvoir est remis en cause), Monstrograph donne la parole aux artistes qu’on entend moins, ou pas assez. Objectif : éclairer leur réalité de créateurices, et les questions qu’iels se posent en matière de liberté de création.
Leslie Barbara Butch, Ovidie, Habibitch, Guillaume Meurice, Axelle Jah Njiké… Dix-sept créateurices toutes disciplines confondues répondent ainsi à douze questions : peut-on s’autoriser à s’emparer d’un sujet si on n’est pas concerné·e ; est-il risqué de créer ; reste-t-il possible de dire ce qu’on veut sans craindre les représailles ?
Riches et incarnées, leurs réponses mettent en lumière quelques constats délicats : violences perpétrées par les raids de trolls mais aussi intracommunautaires, difficultés à se déconstruire, logiques à l’oeuvre en matière de diffusion et d’accès aux financements. En cette époque ultraréactive, et marquée par l’omniprésence des réseaux sociaux, le chemin de la création reste semé d’embûches. Mais ces obstacles sont aussi vus par certain·es comme un moyen de réinventer leur art.

À la clé, un éventail de profils pluriel et évolutif, à l’image des questions que chaque artiste devrait se poser : tout dire, oui, mais pour dire quoi ? Et comment ?

Les artistes
Ayouba Ali, Hakim Atoui, Johanny Bert, Leslie Barbara Butch, Marie Docher, Camille Ducellier, Habibitch, Alistair Houdayer, Axelle Jah Njiké, Guillaume Meurice, Laura Nsafou, Oh Mu, Ovidie, Christelle Pécout, Kelsi Phung, Niels Rahou et Boulomsouk Svadphaiphane.

Ton absence

Mon nouveau roman ado, quatrième de mes ouvrages à paraître au Rouergue Jeunesse, parle d’amour, du regard des autres, des premiers vrais émois de l’adolescence, le tout au cœur des paysages splendides du Cézallier, entre Cantal et Puy-de-Dôme.

Sélections
Prix Vendredi – le « Goncourt » de la littérature ado
Prix de l’Estuaire
Prix Jeunes Caractères – Quintin

Ça fait comment quand on désire pour la première fois ? Quand la curiosité laisse sa place à l’attirance ? Quand toutes nos pensées vont vers un seul être ? Le temps d’un stage BAFA, dans les lumières de l’été, Léopold s’éprend de Matthieu. Mais sa bande de potes, menée par Damien, un garçon dominateur et toxique, va très vite se mettre entre lui et son désir. Sous le soleil, l’ambiance s’épaissit et les tensions poussent le groupe au bord de l’explosion.

Toi déjà, tu savais, que la vie est fébrile, qu’à quoi bon les lignes droites, confort et insipides, quand tous les creux attendent, en embuscade, les écarts qui inquiètent, sinueux qui émerveillent.

Et pour en savoir plus sur le processus d’écriture, les origines du roman et ce qui a guidé mon écriture, quelques réponses en vidéo…

Et si on parlait diversité ?

Ou plutôt, absence criante de diversité en littérature jeunesse… C’est le propos de deux interviews publiées sur l’excellent et hautement recommandable site La Mare aux Mots, dont je reprends ici des extraits…

C’est une question que j’aborde régulièrement, en intervention scolaire, en interview ou lors des différents salons dans lesquels j’interviens. La route est longue, mais ces quelques infos devraient vous permettre d’y voir plus clair ou vous donner des pistes de réflexion.

Interview croisée avec Laura Nsafou

Le sujet scandaleux, c’est l’absence criante de diversité, tant du côté des auteurs et des autrices, que des récits commercialisés, des imageries véhiculées. Il n’y a qu’à voir les allées des salons du livre. Des blancs, des blancs, des blancs. Idem pour les ouvrages. Certes, quelques maisons d’édition commencent à s’interroger, osent des initiatives. Mais on reste en surface. Comme souvent, beaucoup se refusent à voir que des processus discriminants jouent à plein régime, pas toujours conscients, d’ailleurs, mais qu’importe. Et qu’on ne vienne pas me répliquer l’argument pathétiquement creux du « on ne peut plus rien dire, on ne peut plus rien écrire ». La littérature jeunesse mérite mieux que des formules caricaturales, révélatrices d’une certaine misère intellectuelle. Comment, en 2021, peut-on supporter que tout un pan d’auteurs et d’autrices, issu·es de la diversité, ou de récits mettant en avant d’autres visions de la société, des personnages « en marge » n’aient pas accès aux circuits grand public ni voix au chapitre.
Je rêve que les maisons d’édition françaises, dans leur ensemble, comprennent combien elles ont à gagner à opérer cette mue. Et ne soient plus aussi frileuses, ni ne fassent comme si cette question ne se posait pas.

Je rêve que les maisons d’édition françaises, dans leur ensemble, comprennent combien elles ont à gagner à opérer cette mue.

Mon coup de cœur et mon coup de gueule

Où sont ces voix qu’on n’entend pas (ou qu’on refuse d’écouter) alors même qu’elles disent un mal-être, des récits, des vécus et réalités, qui rappellent combien ce qu’on considère comme une « norme » ou une « objectivité » est le fruit d’un système aux mains d’une seule et même caste, arc-boutée sur ses privilèges et pouvoirs, et prompte à les défendre becs et ongles.

Je suis sidéré de voir à quel point la littérature jeunesse française continue de souffrir d’une absence criante de diversité — tant dans les représentations données à voir dans les ouvrages — que des voix éditées.

Où sont les auteurs et autrices racisé·es ? Quid des récits #ownvoices ? Comment est-il possible que les couvertures de certaines traductions soient « blanchies » ? Pour mesurer l’étendue du problème, je vous invite à écouter cet épisode de Kiffe ta race. Il suffit toutefois de déambuler dans les allées du salon du livre et de la presse jeunesse de Montreuil, ou de n’importe quel salon du livre jeunesse, pour constater combien les tables de dédicaces sont désespérément blanches. (Jetez donc un œil sur le trombinoscope des 200 auteur·rices invité·es au SLPJ 2020… .)
Attention, il ne s’agit pas ici de reporter la faute sur tel ou telle, mais bien d’alerter sur le besoin d’une prise de conscience collective.


Une prise de conscience collective s’impose.

À l’étranger, des maisons d’édition prennent le problème à bras le corps, des agences littéraires dédient des fonds à l’émergence d’autres voix.

Et nous ? Quels récits publions-nous ? Par qui les ouvrages sont-ils écrits, illustrés ? Quels livres mettons-nous en avant ? Qui invitons-nous en salon, en librairie, en bibliothèque, en résidence ? À qui attribuons-nous des bourses, des aides ? Il est plus qu’urgent de répondre à ces questions. Et d’agir en conséquence.

Partout, le train d’une plus grande diversité est en marche. Ambition et volontarisme sont plus que jamais nécessaires pour ne pas rater ce coche et continuer de faire en sorte que la littérature jeunesse soit cette porte ouverte sur le monde de demain, et celles et ceux qui l’habiteront. Une société plus juste, riche de toutes ses singularités.

En route pour Amiens

LireCestDuDelice-Amiens2021

Lire, c’est du délice !

C’est avec beaucoup de bonheur que je retourne cette semaine au festival Lire, c’est du délice, à Amiens. Pour y reparler de Magda (Auzou), qui se passe en partie en Picardie, mais aussi évoquer mes derniers romans, notamment Le Cri du Homard et Tracer.

Cerise sur le gâteau, j’ai  le plaisir d’être le président du jury du concours d’écriture « Protégeons l’humanité ! Imagine la planète en 2050… »

Alors c’est parti pour une semaine de folie !

Les lundi 8, mardi 9 et vendredi 10 novembre.
Rencontres scolaires

Le samedi 13 novembre.
10h-18h. Salon, rencontres et dédicaces.
16h. Remise des prix du concours.

Pôle universitaire de la Citadelle
10 rue des Français libres. Amiens

Retour en images sur l’édition 2019…

Écrire ensemble le Caen de demain

Du 6 au 10 octobre, c’est la Biennale d’architecture et d’urbanisme de Caen-Normandie.
À cette occasion, j’ai le plaisir de devenir l’écrivain public de l’événement. Soit 5 jours à parcourir la ville en vélo-cargo 🚴‍♂️, à la rencontre des habitant·es, toutes générations confondues, pour écrire ensemble ce que pourrait être leur ville demain.

Aller au-devant des gens pour collecter leurs idées, leurs envies. Une ville n’est pas que le reflet des élus et des urbanistes, mais aussi ce qu’en font les populations. Pour cela, il faut se poser les bonnes questions au bon moment, et s’accorder le droit d’imaginer.

Une formidable idée expliquée en détail dans cet article de Ouest France, jalonnée de temps forts tout au long de la semaine.

Et le programme détaillé de la Biennale est à retrouver ici (et en bas de cet article).

Mon programme détaillé :

Mercredi 6 octobre
Matin. À la rencontre des habitant·es en vélo-cargo.
Après-midi. Le Parlement des enfants. (Le Pavillon)
Comment les enfants imaginent-ils la ville. Atelier participatif. Sur inscription.

Jeudi 7 octobre
09h15. En direct sur France Bleu Normandie, dans Côté Culture.
Toute la journée. Rencontres avec les collégiens et collégiennes. (Bibliothèque Alexis de Tocqueville)

Vendredi 8 octobre
Matin. À la rencontre des habitant·es en vélo-cargo au marché Saint-Sauveur.
Après-midi. À la rencontre des habitant·es en vélo-cargo, autour de l’université Caen-Normandie, et à la sortie des écoles Clos Herbert et Pigacière.

Samedi 9 octobre
Matin. À la rencontre des habitant·es en vélo-cargo à La Prairie.
Après-midi. À la rencontre des habitant·es en vélo-cargo dans les environs du Pavillon.

Dimanche 10 octobre
Matin. À la rencontre des habitant·es en vélo-cargo sur le marché.
Après-midi. À la rencontre des habitant·es en vélo-cargo dans les environs du Pavillon.
18h30. Les transitions font leur sketch. Restitution du récit collectif de nos imaginaires par la compagnie Bazarnaom. Sur inscription.